Je veux répondre aux interpellations de M. Larrivé, selon lequel nous retarderions l’examen des demandes d’asile alors que nous voulons l’accélérer. Pour montrer qu’il est vraiment de bonne composition, il affirme aussi qu’il n’est pas un extrémiste puisqu’il propose de revenir au texte du Gouvernement.
Monsieur Larrivé, je n’ai jamais pensé que vous étiez extrémiste, mais il m’est arrivé de penser que vous n’étiez pas toujours de bonne foi. Parfois, vous l’êtes, mais pas toujours.