Il me semble que nous aurions dû voter l'amendement de la rapporteure générale rétablissant la situation initiale, c'est-à-dire le doublement des dotations de péréquation, avant de nous poser la question d'une péréquation supplémentaire – c'est-à-dire allant au-delà du doublement demandé –, dont le coût ne saurait en aucun cas être supporté par les communes classées entre la 250e et la 500e place sur la liste des communes éligibles à la DSU « cible ». Pour ce qui est des simulations, je déplore moi aussi qu'elles ne nous soient pas parvenues.