Et en bonne santé, de plus : il est d’ailleurs notre doyen…
Soit vous estimez que, la situation n’étant au fond pas si grave, la construction étant descendue à 300 000 mises en chantier sans que cela pose un problème, et à ce moment-là il faut chercher à limiter la dépense fiscale. J’en serais ravi. Hier encore, en commission mixte paritaire, j’ai rappelé à mes collègues que la dépense fiscale ne pouvait pas s’envoler.
Mais ce que je souhaite, mes chers collègues, c’est qu’on sorte de l’idéologie. Cela devient insupportable ! Quel est l’objectif aujourd’hui ? Je le redis, comme je l’ai dit à l’automne 2008 : l’objectif devrait être, compte tenu du marasme absolu, de déverrouiller les choses, pour que ça marche !