Libération a titré aujourd'hui : « Avantage Assad. » J'aimerais avoir votre commentaire sur ce point, monsieur le ministre. Bachar Al-Assad n'est-il pas en effet le grand vainqueur ?
Mme la présidente et vous-même avez employé le terme « Daech ». Pour sa part, le patriarche catholique syriaque, que le groupe d'études sur les Chrétiens d'Orient a reçu récemment, a estimé que nous devrions avoir le courage d'utiliser le terme « État islamique ». Qu'en pensez-vous ?
À l'initiative du président Hollande, un sommet a été organisé à la fin du mois d'octobre à Paris entre les présidents arménien et azerbaïdjanais, avec pour objectif la recherche d'une paix durable. Vous y avez probablement assisté. Quelques jours plus tard, les Azerbaïdjanais ont abattu un hélicoptère arménien au-dessus du Haut-Karabagh, causant la mort de trois personnes. Or, à ma connaissance, la France n'a pas réagi. Qu'en est-il exactement ?
Quel est votre sentiment sur les résultats des élections législatives et de l'élection présidentielle en Tunisie ?