Nous avons eu ce débat lors de la première lecture, et nous l'aurons à nouveau lors de la deuxième. Fixer à 2,7 % la progression de l'objectif national de dépenses d'assurance maladie (ONDAM) ne nous paraît pas responsable. La Cour des comptes comme l'Inspection générale des finances (IGF) estiment que la croissance raisonnable se situe entre 2,4 et 2,5 %. Durant trois ans, nous avons réduit la progression de l'ONDAM pour l'amener à 2,5 %, et nous proposons de la maintenir à ce niveau.