L’utilisation d’internet complexifie d’ailleurs la tâche des pouvoirs publics dans la lutte contre ces trafics, notamment avec l’essor de l’achat de drogue via les réseaux clandestins en ligne que sont les darknets.
Ce rapport du CEC regrette également l’insuffisance de données quantitatives fiables sur les pratiques dopantes, leur ampleur et leurs évolutions, y compris pour le sport amateur qui n’est pas soumis au code du sport.
C’est là un point important sur lequel il convient d’insister. Nos collègues sénateurs Jean-François Humbert et Jean-Jacques Lozach indiquent très bien dans leur rapport sur L’efficacité de la lutte contre le dopage combien la pratique du dopage est de plus en plus fréquente parmi les sportifs amateurs.