Monsieur le président, madame la ministre, mes chers collègues, je veux tout d’abord saluer le travail de notre rapporteur, Michel Françaix.
La presse écrite est un pilier de notre démocratie. Par sa pluralité, sa diversité, elle met en avant l’ensemble des courants de pensée qui animent notre pays. Chacun d’entre nous a ses préférences et c’est bien normal : qu’en serait-il de nos libertés si une seule voix exprimait ce qui fait la richesse de la France, le débat politique ?
Je veux citer ici Maximilien de Robespierre…