Je ne pense pas que les États-Unis aient « gagné », ni que la décision prise soit contraire à l'accord Bâle III ; c'est la continuité de Bâle III, et la même représentation de pays. Ce qui est certain, c'est que le choc sera de beaucoup atténué pour les banques américaines, qui ont une holding de tête. Mais, je le redis, cet accord n'est pas définitif et l'étude d'impact permettra de l'apprécier. D'autre part, je pense que si les banques européennes voient un avantage à réviser leurs structures, elles le feront. Elles sont obligées de les revoir, de manière générale, pour permettre la résolution.