Vous engagez des travaux importants à l'Hôtel national des Invalides : pouvons-nous aller les voir ? Je souhaite à cet égard que disparaisse rapidement le « champignon » qui a poussé à cette occasion.
Par ailleurs, quelles aides envisagez-vous à l'égard des veuves des grands invalides les plus déshéritées ?
S'agissant de la promotion des lieux de mémoire, je me suis rendu cette année à Rivesaltes en même temps qu'une famille d'un harki décédé : j'ai eu honte, en tant que représentant de la République, de l'état d'abandon dans lequel était l'endroit. À Oradour, je réclame qu'on prête plus d'attention aux murailles, qui sont en train de s'écrouler et, de ce fait, dangereuses : ce site est propriété de l'État mais sa sécurité est de la responsabilité du maire. Il convient de voir avec le ministère de la culture les mesures d'urgence à prendre.