J'examinerai cette question.
Monsieur Guilloteau, s'agissant de la date du 19 mars, je ne veux pas que mon expression vienne polluer le débat entre les pouvoirs exécutif et législatif.
De même, je ne peux m'engager de façon responsable sur l'évolution de la retraite du combattant dans les cinq ans qui viennent : je m'inscris dans la continuité de ce qui a été fait en examinant tant la valeur du point de pension que l'évolution du nombre de points.