Et ce dialogue sera facilité par la qualité de nos relations bilatérales, notamment dans le domaine culturel. Il est important de soutenir tout ce qui peut accompagner l’évolution de la démocratie dans ce pays : l’Institut français est justement un espace de liberté, qu’il faut aujourd’hui conforter.
La ratification de cet accord, plus de cinq ans après sa signature, correspond donc pleinement aux intérêts de la France. L’Institut français doit bénéficier d’un véritable statut juridique pour pouvoir pleinement jouer son rôle de diffuseur d’idées et de valeurs, et c’est cela qu’il s’agit de promouvoir aujourd’hui, a fortiori après les tragiques événements que nous venons de traverser. Je ne doute pas, mesdames et messieurs les députés, que vous serez également convaincus de l’intérêt de voter cette convention.