Je suis député des Français des deux pays : j’aime profondément l’Azerbaïdjan, dont j’ai présidé le groupe d’amitié, et profondément l’Arménie, où je suis allé plusieurs fois. Je pense que le rôle des parlementaires français est, comme nous l’avons fait vis-à-vis de l’Allemagne – je le dis en me tournant vers Arlette Grosskost, députée de l’Alsace –, d’essayer de rapprocher ces deux pays plutôt que de se faire le champion de l’un ou de l’autre parce qu’on sait très bien qu’au final, ils s’en sortiront beaucoup mieux le jour où il y aura la paix dans le Caucase et non des tensions éternelles.