Il serait inopportun de supprimer cette obligation de discrétion, d'autant que, dans le dispositif proposé, le défenseur syndical peut se substituer à l'avocat. Ne pas le soumettre à une telle obligation ruinerait notre argumentation en faveur de la préservation de son rôle y compris en empiétant sur le monopole théorique de l'avocat. Avis défavorable.