C’est pourquoi Jean-David Ciot et moi, députés d’Aix-en-Provence, demandons que l’arbitrage qui nous a été imposé en cours d’exercice budgétaire soit revu. Mon collègue rappelait que la ville, très sensible à la situation judiciaire du TGI, avait accepté de faire un effort financier pour la réalisation du projet. Il nous paraîtrait inconvenant que le ministère de la justice ne suive pas l’exemple de la ville d’Aix-en-Provence.