En l’occurrence, c’est le parcours de soins coordonné qui est concerné. Que vais-je dire à ces patients qui vont devoir débourser 300 ou 400 euros pour faire une radio parce qu’ils n’ont plus de médecin généraliste qui leur permette de respecter le parcours de soins coordonnés ? La politique, madame la secrétaire d’État, c’est aussi être capable de comprendre des situations particulières, et c’est y répondre, y compris par des dispositions dérogatoires.