C’est à cette condition que nous retrouvons une crédibilité sur le plan macro-économique, tant vis-à-vis de nos partenaires que de Bruxelles.
Ce texte de loi donne plus de vitalité à notre économie à travers, j’en assume le statut, des réformes micro-économiques. Oui, nous pouvons à ce titre être plus exigeants, avec nos partenaires et avec Bruxelles, soutenir un vrai dialogue en termes de macro-économie, et espérer une meilleure coordination de nos politiques économiques et de relance de l’investissement.
Si nous ne bougeons pas, si vous restez sur des incantations en nous demandant de faire ce que vous n’avez pas fait pendant douze ans et en refusant d’avancer dans la voie que nous proposons, quelle légitimité aurions-nous pour demander quoi que ce soit à nos partenaires, à celles et ceux qui ont fait des réformes, parfois même ce genre de réforme ?