La dette a augmenté. Si elle s’élève à 175 % du PIB, c’est aussi parce que le PIB, la richesse nationale, a baissé de 25 % depuis le début de la crise. Notre réponse doit consister à aider la Grèce à mener les réformes, à retrouver la croissance qui lui permettra de faire en sorte que soit renoué le lien des citoyens avec le projet européen, mais aussi avec l’emploi.
Il s’agit en effet de la bataille pour la réorientation que nous menons. C’est ce que nous avons fait avec la nouvelle politique monétaire qui permet la baisse de l’euro, le plan Juncker de 315 milliards d’investissement et une nouvelle doctrine sur la flexibilité. Telle est la bataille que nous allons mener pour la Grèce et pour l’Europe.