Monsieur le Premier ministre, votre ministre de l’intérieur et vous-même avez raison de dire que nous sommes en guerre contre l’islamisme radical. Cette guerre doit être totale.
Or, comme vous l’écriviez dans votre lettre au Président de la République de l’été 2013, il existe une large fracture au sein du Gouvernement entre une ligne ferme, que vous cherchez à incarner avec M. Cazeneuve, et la ligne pénale laxiste de Mme Taubira.