Nous verrons quel sera le résultat pour 2014 et, personnellement, j’attends avec beaucoup d’impatience de connaître le montant des bénéfices nets des sociétés autoroutières. Cela serait une information intéressante. Comme le rappelait Gilles Savary, la transparence n’existe pas, hélas. J’espère que nous aurons la possibilité d’aller vers une plus grande transparence ainsi que vers une modulation de l’évolution des péages et que nous pourrons engager une politique permettant de financer les infrastructures de transport.
Je ne cesse de m’interroger. Pourquoi alors que les sociétés concessionnaires d’autoroutes réalisent 2 milliards de bénéfices, n’avons-nous pas trouvé le moyen de faire en sorte que sur ces 2 milliards, 500 ou 600 millions financent l’AFITF, l’Agence de financement des infrastructures de transport de France alors que les besoins sont particulièrement importants ? Je le déplore.