Le manque de lits affectés aux soins palliatifs ne doit en aucun cas être le motif d’un choix de fin de vie alternatif ! Si un rappel législatif de ce principe n’est pas de trop, il dépend davantage aujourd’hui d’un arbitrage économique courageux. En un mot, refusons d’opposer les soins palliatifs à l’aide active à mourir.
Ce texte propose ensuite la légalisation de l’euthanasie et du suicide médicalement assisté. J’ai du reste déposé un amendement tendant à réunir ces deux actes médicalisés sous le vocable d’ « aide active à mourir ».