Je ne doute pas que vous le ferez, y compris en déposant des amendements.
Personne ne peut imaginer qu’un débat comme celui sur la fin de vie puisse être restreint à un quelconque espace réservé. Les questions que vous soulevez sont aujourd’hui portées au débat, et la fin d’examen de ce texte ne saurait sans doute les éteindre.
Je vous remercie en tout cas, madame la rapporteure, de votre engagement, de votre émotion et de votre investissement, auxquels le Gouvernement a été très sensible, même s’il ne peut pas leur apporter une réponse favorable.