Je suis désolé d’avoir été si long à réfléchir, madame la présidente, mais je voulais lever toute ambiguïté et j’espère que les échanges que j’ai pu ainsi avoir avec M. le député Tardy ont été bénéfiques pour les uns et les autres, et éclairent l’avis défavorable du Gouvernement. En effet, il s’agit d’éviter qu’une attente de quinze ans ou vingt ans soit qualifiante, en quelque sorte, et prise en compte par l’administration.