Le système d’attribution des places est très compliqué et était géré jusqu’à récemment à la fois par le ministère et, selon une clause de grand-père, par les écoles de conduite déjà installées. L’année dernière, le ministre de l’intérieur a mis en place un premier plan d’urgence pour essayer d’écouler le stock et de répondre de façon plus satisfaisante à la demande – étant entendu que les délais commandent le coût : plus on attend longtemps, plus il faut se maintenir à niveau et plus on prend de leçons de conduite, au-delà des 35 heures en moyenne nécessaires pour obtenir le permis.