Les courriers sont évoqués par qui veut ; je puis vous dire que, si tel avait été le cas, nous n’aurions pas introduit ce dispositif dans le présent texte.
La parole du Gouvernement a un sens. D’aucuns auraient pu faire cette réforme, mais ne l’ont jamais faite. Ceux-là sont les grands réformateurs de la parole ; on les connaît. Ils ont été ministres de l’intérieur pendant plusieurs années ; ils ont même parfois été Président de la République ; et ils voudraient aujourd’hui que nous fassions dans ce texte de loi tout ce qu’ils n’ont pas fait !