On ne peut imaginer un seul instant que votre majorité au Sénat ait rejeté ce texte sans motif !
Depuis la première lecture, un certain nombre d'événements se sont en effet produits.
Il y a d'abord eu le rapport Gallois, qui a démontré que la compétitivité était un vrai problème pour notre pays et dont semblent avoir pris acte, en tout cas en paroles, le Président de la République et le Premier ministre.
Ensuite, nous avons perdu notre triple A, ce qui témoigne de la méfiance des observateurs étrangers vis-à-vis de votre projet de loi de finances.