Monsieur le président, il n’est jamais facile de présider une séance en temps programmé, et je comprends bien la difficulté de l’exercice puisque nous traitons à la fois de l’objectif et des moyens, alors que les dispositions consacrées aux moyens viennent par la suite et que c’est alors que nous allons en débattre de façon plus précise.
Mais je comprends parfaitement, monsieur Fromantin, que lorsque l’on pose un droit avec la gravité qu’a soulignée M. Vigier, et je veux l’en remercier parce qu’il a mesuré la portée de cet amendement qui pose un droit universel, cela autorise les citoyens où qu’ils soient à exiger que ce droit leur soit rendu.