Si : il s’agit d’une opacité qui se légitime elle-même. Or, parce qu’une forme de péréquation existe, nous dit-on, il faudrait ne pas examiner les tarifs.
Je crois au contraire qu’il faut préserver la péréquation – nous y reviendrons – mais que celle-ci doit reposer sur la transparence des prix. Qui peut légitimement s’opposer à la transparence des prix réglementés ? Personne, car c’est une mesure de justice.