Je voulais, par correction, revenir une dernière fois sur quelques-uns des points qui ont été soulevés.
Premièrement, je souhaite opérer un distinguo. Vous parliez de menaces – je ne veux faire grand cas ni de celles-ci, ni du peu de solidarité que certains ou certaines ont pu manifester dans d’autres cas ou pour d’autres réformes passées –, mais il s’agit d’officiers publics ministériels. On est donc en droit d’attendre d’eux qu’ils agissent différemment du commun des mortels ou de tout autre de nos concitoyens.
Deuxièmement, monsieur le député Sébastien Huyghe, vous avez évoqué la commission Darrois, dont nous étions membres l’un et l’autre – je n’en étais pas rapporteur. J’assume comme vous parfaitement les positions que j’ai pu exprimer alors. La différence tient à ce que vous légifériez, contrairement à moi.