Le problème est que, pour des raisons tenant à notre histoire et dont je suis fier, le blasphème n'est pas un crime en France alors qu'il est très mal vécu dans beaucoup de pays, y compris aux États-Unis. Nous avons donc à faire un difficile travail d'explication.
Par ailleurs, je note que l'adoption par le Parlement de la résolution sur la Palestine n'a pas aidé à faire baisser la pression : on assiste au contraire à la poursuite d'une stratégie palestinienne allant vers l'escalade, ainsi qu'à la même tendance côté israélien.