Je vous remercie, madame la secrétaire d’État, de votre réponse et je me réjouis du regard bienveillant que vous avez posé sur ma question. Au-delà des personnes âgées, il s’agirait d’étendre le dispositif aux plus fragiles. La moyenne d’âge des personnes concernées par l’expérimentation est de soixante-quatre ans. Il s’agit parfois de pathologies de patients en difficultés médico-sociales, qui sont beaucoup plus jeunes mais dont les prises en charge en retour à domicile sont complexes. Ce dispositif est à la fois très personnalisé et tout à fait adapté aux besoins du public, tout en étant soucieux de rationaliser les coûts de la prise en charge à l’hôpital. Je vous remercie une nouvelle fois de votre écoute, madame la secrétaire d’État. Je reste à votre disposition, en coordination avec le centre hospitalier universitaire de Nîmes, pour vous communiquer l’ensemble des éléments relatifs à cette expérimentation, et éventuellement les possibilités d’y donner une suite encore plus importante.