Vous comprendrez, monsieur le secrétaire d’État, que la réponse que me vous m’avez transmise ne me satisfasse pas totalement car nous avons engagé des efforts considérables. Situons-nous dans le temps : en 1998, la ville de Dammarie-lès-Lys fut l’une des premières à rencontrer des problèmes liés à la présence de quartiers sensibles. La ville, dont j’étais le maire à l’époque, a investi plus de 24 millions d’euros pour que ce projet soit viable, se substituant au conseil général de Seine-et-Marne qui, pour des raisons qu’il ne convient pas d’évoquer ici, avait refusé d’y participer. Nous avons pratiquement terminé la rénovation de ce quartier. Force est de constater que ces décisions ne nous permettront d’aller jusqu’au bout de ce qui a été entrepris. Quel dommage pour les 10 000 habitants de ce quartier !