Je vous remercie, monsieur le secrétaire d’État, pour ces propos qui montrent que vous comprenez la situation. J’aurais aimé recevoir une réponse plus affirmative concernant la demande de cette famille, même si je suis sans doute moins déçue qu’elle ne peut l’être.
Je me permets également de vous faire observer que l’État français n’a pas été en mesure de garantir à ce pilote l’application de la convention internationale qui dispose que les pilotes ne sont en aucun cas responsables du contenu des bagages. Cela aurait dû justifier une attitude plus compréhensive vis-à-vis de cette situation difficile, sur le plan tant financier que moral.