Je vous remercie, monsieur Vitel, de m’en donner acte – et vous n’hésiterez à faire partager votre analyse par vos collègues !
Je vois bien, mes chers collègues, que vos principes sont réversibles au gré des intérêts que vous entendez défendre. Ainsi, lorsqu’il s’agit des médecins, la liberté d’installation est sacrée, et l’accès aux soins une question infiniment subsidiaire ; en revanche, quand il s’agit de l’installation des professions réglementées, il faudrait être extrêmement vigilant pour que ne s’établisse pas une forme de concurrence du fait d’une trop grande présence de nouveaux professionnels.