J’en viens à la deuxième question, qui concerne la carte. M. le rapporteur général y a déjà, d’une certaine manière, répondu, mais par courtoisie, j’y répondrai moi aussi – quoique de manière similaire.
On ne peut comparer la situation des notaires avec celle des médecins, pour la simple raison que la cause principale des déserts médicaux est le numerus clausus, qui n’existe pas pour les professions du droit.