J’ajoute qu’un risque de désertification serait envisageable si l’on allait vers une liberté totale d’installation, ce qui n’est pas ce que nous proposons ; d’où l’incohérence de vos attaques, car j’ai entendu sur vos bancs une véritable polyphonie corse – et encore : le décalage chez les Corses n’est qu’à la tierce !