Le droit n’est pas une marchandise comme les autres : je n’ai pas besoin d’insister davantage, ce thème ayant été suffisamment développé. Il nous faut sanctuariser les professions juridiques réglementées et les règles les concernant. Il importe de les placer à l’abri sous l’autorité de la garde des sceaux, de la Chancellerie, loin du prisme économique de l’Autorité de la concurrence. Cela a été rappelé à plusieurs reprises, mais vous me permettrez d’enfoncer le clou.