Nous nous situons dans une veine déjà explorée.
Il s’agit, si j’ose dire, d’ôter toute légitimité à l’Autorité de la concurrence et de rappeler que les professions juridiques réglementées ne sont pas des professions comme les autres dont, par exemple, les professions économiques ou commerciales.
Une fois de plus, nous cherchons à échapper au prisme économique en rappelant la seule compétence de la Chancellerie.