Nous avons d’ailleurs été entendus puisque le secrétariat général de la défense nationale, quatre jours après l’audition, a demandé à l’Agence nationale de la recherche une étude sur les techniques audio et vidéo de détection des drones.
La situation montre l’utilité – sur ce point, nous sommes tous d’accord – du Haut Comité pour la transparence et l’information sur la sécurité nucléaire – le HCTISN – créé par la loi de 2006, qui ne fonctionne plus depuis le départ de son dernier président, Henri Revol, c’est-à-dire depuis près d’un an. Je demande donc, du haut de cette tribune, que l’on reconstitue le bureau du HCTISN,…