Il en va de même dans ma région.
La répartition des crédits entre les départements telle qu'elle est opérée actuellement est dangereuse car le coût d'une secrétaire est le même partout. Le plus important est d'assurer une couverture du territoire par le biais des réseaux. Il est normal d'accorder des crédits plus importants aux grands territoires, mais certaines zones rurales nécessitent aussi d'importants moyens.
La RGPP a conféré aux chargées de mission une liberté d'intervention qu'elles n'avaient pas auparavant, notamment la possibilité de travailler dans le domaine de la politique de la ville.
Généralement, tout ce qui relève de la politique de lutte contre les violences, en proximité avec la police, la justice et la gendarmerie, est mis en oeuvre dans les départements, le niveau régional étant plus adapté à ce qui relève de la politique de l'emploi.