mais du temps où je faisais mes études, au début des années 1980, on ne consacrait guère plus de quatre lignes à la maladie de Lyme. C’est dire l’évolution des recherches et des études dans ce domaine, et la qualité de ce rapport.
Il est parfois difficile pour le législateur de trancher. Le consensus médical est indispensable, attendu rapidement. Les laboratoires doivent travailler sur des tests, qui sont de plus en plus fiables, mais qu’il faut améliorer.
Il a été par le passé difficile de légiférer en matière de lois mémorielles ou de lois sociétales. Il est difficile aujourd’hui de trancher sans le consensus médical, alors que des progrès sont indispensables. L’INSERM, vous l’avez rappelé, madame la secrétaire d’État, devrait rapidement mettre en oeuvre les préconisations du Haut conseil.
Monsieur le rapporteur, en commission, vous vous êtes comparé à la mouche du coche.