Comme notre collègue vient de l'évoquer, cet article nous pose un vrai souci, non seulement pour les congrès médicaux en eux-mêmes – c'est évident –, mais aussi dans le domaine économique, car ces événements sont importants pour un certain nombre de villes. Or, quasiment la moitié des congrès qui se déroulent en France concernent la médecine.
Nous sommes donc très attentifs aux modifications qui pourraient être apportées. Je crois d'ailleurs que Mme la ministre va faire une annonce sur le sujet dans quelques instants. Pour l'instant, force est de reconnaître que l'ensemble des professionnels du tourisme est très inquiet.