Je partage les propos tenus par Philippe Duron : soit on transfère, soit on maintient, mais on ne partage pas. Ce n'est pas un problème de proximité : il n'est pas question de rassembler toutes les déneigeuses au chef-lieu de région… (Sourires)
La question est avant tout économique. Ou bien les routes restent du ressort des départements afin de leur conserver quelques compétences visibles, comme on l'a fait pour les collèges, ou bien on les transfère aux grandes régions dans un souci d'efficacité économique.