Je retire cet amendement, même si l’argument selon lequel on ferait prendre un risque à l’épargnant ne me convainc pas. Ce n’est pas celui qui m’a été opposé en commission : il a surgi par la suite. Je peux entendre que nous ne sommes pas prêts, mais je constate qu’il existe aujourd’hui des épargnants qui aimeraient investir et qui ne le font pas, faute d’avoir un outil spécifique leur permettant d’investir dans des conditions fiscalement intéressantes.
Je veux bien admettre que nous ne sommes pas prêts, mais je ne voudrais pas qu’on laisse penser que ces sociétés en participation pourraient présenter un risque pour les épargnants. Si elles voient le jour, j’aimerais en effet qu’elles puissent être un succès, et non l’objet d’inquiétudes qui, selon moi, ne sont pas légitimes.