Le rapporteur a parfaitement décrit les contraintes actuelles, qu’illustre le cas de Constantine. Notre idée ici est de permettre à l’expertise française de valoriser tous ses apports sur le plan international. Elle ne remet nullement en cause, monsieur Chassaigne, la nature de l’activité hospitalo-universitaire et son caractère primordial. Nous donnons à quelques établissements d’excellence la capacité d’opérer à l’étranger dans de meilleures conditions, pour valoriser le savoir-faire français. C’est une mesure d’aménagement et d’accompagnement, mais en aucun cas un changement de priorité. Je tiens à vous le préciser, monsieur Chassaigne, car je comprends votre préoccupation, qui était également celle de Mme Fraysse en commission spéciale. Je vous invite à retirer cet amendement, sans quoi j’émettrai un avis défavorable.