Monsieur Chassaigne, je vous accorde que l’association se fera avec un partenaire privé qui va détenir 50 % des parts de la société nouvelle. Ce partenaire privé est non pas, comme vous l’avez dit, une société financière, mais une famille. À cet égard, je rappelle que nous sommes favorables au fait que des personnes privées soient actionnaires. Nous préférons de loin un actionnariat familial, un actionnariat de personnes physiques à des sociétés financières, car on sait ce que cela recouvre.