On part à armes égales, en considérant que nous allons gagner les uns et les autres en nous associant. Si nous avions pu aller vers une consolidation française, il y a fort à parier que la consolidation européenne n’aurait pas eu lieu, car l’actionnaire de KMW pose comme préalable le fait d’avoir une fusion entre égaux.
Je peux vous indiquer qu’il n’y avait pas d’option de consolidation française – nous avons eu le débat avec votre collègue M. Fromion en commission spéciale. Une telle idée ne tenait pas la route.
De la même façon, il n’y a pas de mainmise du camp allemand, bien au contraire.
Si on évalue la situation d’un point de vue clinique…