Ma question s’adresse à M. le Premier ministre.
Vous présentez la loi Macron comme une loi de relance de la croissance. Pensez-vous que l’article 48, que nous avons examiné hier soir et pour lequel nous avons à nouveau évoqué l’éventuelle privatisation de l’Établissement français du sang, soit réellement de nature à relancer la croissance ?
S’il y a un domaine qu’il faudrait sanctuariser plutôt que de le livrer au marché, c’est bien celui de la santé !