Notre mission est donc de tracer la perspective de ce contrôle parlementaire. Il appartient maintenant aux parlementaires de faire vivre celui-ci, pour que l’opinion puisse se réconcilier avec des outils devenus indispensables à la défense de nos intérêts nationaux et à la protection des libertés individuelles dont jouissent légitimement nos concitoyens. Puisse ce premier débat y contribuer.