Il reste que, parfois, le renvoi de ces personnes dans leur pays n’est pas possible, notamment au regard des règles conventionnelles – mais pas uniquement : c’est aussi qu’elles pourraient y être victimes de persécutions. Dans ce cas, nous les plaçons sous assignation à résidence, ce qui nous permet de couper leurs relations avec d’éventuels réseaux. C’est aujourd’hui le cas pour dix personnes.
Cela nous demande beaucoup d’énergie,…