J’ai en outre annoncé ici même, à la tribune, à la suite du conseil des ministres au cours duquel, sous l’autorité du Président de la République, des mesures contre le terrorisme ont été adoptées, qu’il fallait non seulement assurer ce suivi individualisé, mais aussi, sur la base des expérimentations que nous avons déjà menées, isoler, en effet, tous ceux qui représentent un danger en matière de terrorisme.
Je me dois de vous rappeler, monsieur Larrivé, que la réforme dite pénale est entrée en vigueur, selon les dispositions, le 1er octobre dernier ou le 1er janvier dernier. Il n’y a donc aucun lien entre la situation que nous avons connue et la loi pénale ; et n’en cherchez pas, parce que c’est mentir aux Français, ce n’est pas leur dire la vérité.